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La médecine énergétique d’hier à aujourd’hui

« La vie est précieuse. Entretenir la santé vaut mieux que guérir la maladie. »

Il y a des millénaires, les Chinois développaient une médecine holistique basée sur la bonne circulation de l’énergie. Ils mettaient au point l’acupuncture, l’une des premières techniques de soins énergétiques.

Par la sollicitation de quelques 400 points répertoriés le long des méridiens (canaux où circule l’énergie), l’acupuncture sollicite et régule l’énergie bloquée à certains endroits. Elle considère que la maladie naît d’un défaut de circulation de cette énergie porteuse d’informations à travers le corps. Les déséquilibres mesurables apparaissent en effet dans le champ électrique d’un organe avant l’apparition d’une pathologie. L’organe rééquilibré, le processus de la maladie s’interrompt.

La recherche biomédicale contemporaine, portée par le médecin américain Jim Oschman confirme ces concepts venus de la Chine millénaire.  Lorsqu’un point d’acupuncture est sollicité, un courant piézoélectrique est induit dans le système méridien logé dans les fascias. Les études montrent également qu’un point d’acupuncture est plus grand lorsque le patient est malade et que des images des points prises après stimulation se mettent à tourner l’une après l’autre. Un signal très rapide, plus rapide qu’un influx nerveux, va du point sollicité jusqu’au cerveau. C’est l’un des phénomènes biologiques les plus rapides jamais mesuré.

L’ensemble des études nous oriente aujourd’hui vers une conscience du corps, dotée de toutes les caractéristiques de la conscience : la sentience (faculté de sentir, de penser), l’intercommunication, la mémoire et la gestion d’informations, qui existeraient dans le corps en parallèle de la conscience du cerveau.

Source : La formation « La science des soins énergétiques »